Après le combat sur la plage cendrée, les deux jeunes demoiselles retournèrent vers Mésoé. Le chemin jusqu'à la maison de Doyel parrut plus long que d'habitude. Tout le monde étant déjà fatigué par le combat. Mais une grosse demie-heure de marche plus tard, c'est une belle maison à la devanture blanche, couverte en partie par une clématite grimpante qui acceuillis nos dresseurs. La maison se tenait sur 1 étage. C'était une vieille maison de cochet. Une porte écurie, et une grande porte en boit donnant sur l'ancienne scéllerie, était tout ce qui en restait.  Tout la maison avait été rfaite par la père de Doyel lorsqu'il était venu en Salva.

Le jardin était en débarra : l'herbe n'avait pas été couper depuis un moment, la terrasse en bois avait certainement besoin d'être cirée et les pierres du chemin avaient besoins d'un bon coup de Karcher. Mais malgré tout cela, le jardin restait un endroit agréable. Il y avait des plantes en pots un peu partout. Les fleurs et les rosiers des plates bandes étaient bourgeonnant et un banc en bois usée par le temps était installé sous une des fenêtres.

Doyel ouvrit le portail en bois, et invita Elain à la suivre. Fouillant dans ses poches à la recherche des clefs.

« Ma mère est chez des amies aujourd'hui donc nous serons juste toutes les deux. »

A peine s'approchèrent t-elle de la porte que des aboiment se firent entendre de l'interieur.

« Ha ! Et il y a Benji, le Medhyena de garde.»

La porte ouverte, la bestiole noire s faufila dans l'entrebaillement et alla faire un tour dans le jardin avant de renifler la nouvelle venue. Comme il s'agissait d'une femelle, il ne se montrat pas agressif. Quoi que la petite bête haute de 50 centimètres et pensant à peine une dizaine de kilos, n'était pas des plus effrayant. Doyel avait bien conscience que l'animal ne gardait pas grand chose, et était simplement un animal de compagnie pour sa mère.

A l'interrieur. Elle laissa son manteau et son sac sur une chaise avant de se tourner vers Elain.
« Fait comme chez toi. La salle de bain, est au fond de la salle à droite si tu veux de raffraichir, Si ça ne te gêne, pas, je file là-haut 2 minutes, je vais chercher mes livres. »

Et Doyel laissa en plan Leain le temps de monter chercher les livres qu'elle avait étudier pour préparer le combat contre Elain. Elle monta qautre  quatre les marche, ses pas aussi léger que ceux d'un éléphant. Avant de redescandre aussitôt, avec une pile de livres sous les bras, qu'elle posa avec grand bruit sur la table.

« Tu veux boire quelque chose ? » demanda-t-elle enfin.