Lou et Pims, c’est toute une histoire !  Ils se connaissent depuis maintenant un peu plus de trois ans, et on peut dire que le garçon n’imagine pas sa vie sans lui ! En soit, leur rencontre n’a rien de spécial: une amie de sa mère s’était passionnée dans l’élevage de Voltoutou, très tendances à Galar, et Lou avait insisté pour aller visiter des chiots récemment sortis de l’œuf. Déjà vieux de huit jours, les petits chiens étaient tout foufou et excités. L’un d’entre eux, plus rondouillard que les autres, était néanmoins laissé de côté par ses frères et sœurs ; c’est pourquoi Lou était allé vers lui en premier, et le Voltoutou, ravi d’attirer l’attention, l’avait suivi tout le long de la visite.
Louis avait insisté pour l’adopter, et après avoir eu le consentement de l’éleveuse, il ne lui restât plus qu’à convaincre sa mère. Comme à son habitude, cette dernière n’y opposa aucune résistance , à condition que son fils s’en occupe tout seul.
On lui confia alors sa première pokéball, et le Voltoutou accepta de le suivre gaiement.

Son surnom, Louis le trouva quelques jours plus tard en cherchant sur internet. Dans une liste de noms, il trouva que Pims était celui qui sonnait le mieux et qui correspondait bien au caractère tout feu tout flamme de son petit Pokémon ! Du haut de ses deux semaines, le chiot était une véritable petite pile électrique, courant partout, chassant sa queue, bondissant après les insectes… Et surtout, il adorait jouer à la balle : c’était même sa préoccupation numéro une ! Évidemment, Lou ne lui refusait jamais ce plaisir.
Aujourd’hui,  le Voltoutou s’est un peu calmé, même s’il reste toujours aussi guilleret  et joueur. Il adore accompagner son maître dans ses aventures et lui fait une confiance aveugle. Lou l’entraîne partout avec lui et respecte sa volonté de ne jamais rentrer dans sa pokéball ; le plus souvent, il dort avec lui.
Un peu faiblard, ce petit corgi électrique se montre pourtant très courageux face à l’ennemi et fait de son mieux pour aider son dresseur dans son activité d’apprenti Pokémon ranger.
D’ailleurs, si Pims semble parfois se trouver trop faible et pas assez rapide, il hurle à la mort dès que Louis lui parle d’évolution.  C’est donc à contre-cœur que ce dernier a accepté de se procurer une pierre stase et d’en sertir son collier, d’un vert néon.  Depuis, le chiot y tient comme à la prunelle de ses yeux et déteste quand son maître le lui enlève pour faire sa toilette.

 Cage-Éclair
 Frotte-Frimousse
 Charme
 Morsure